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#1 Melden | ZitierenMehrsprachig 

Mehrsprachig | Français | English | [Deutsch] | Español | Русский
Event-Ersteller: Event-Team.
Event-Typ: OOC-Event, Minispiele, Feiern, Überraschungen und gruseliger Spaß!
Level: Alle.

Zeitpunkt des Events: Ab dem Freitag 29 Oktober 2021 19:00:00 UTC (vor 3 Jahren).
Voraussichtliche Dauer: 10 Tage.
Treffpunkt: Überall auf Atys.

Angesprochene Homins: Alle.
Synopsis: Anlor Winn bläst im Jahr Jenas 2615 mit OOC-Events über Atys.
Weitere Informationen: Detailiertes Programm & Anlor-Winn-Jetons



#2 Melden | ZitierenMehrsprachig 

Mehrsprachig | English | [Deutsch] | Français | Español
Event-Ersteller: Event-Team.
Art des Events: Gruselgeschichten-Erzählen.
Geeignete Level: Alle.

Zeitpunkt des Events: Sonntag 7 November 2021 20:00:00 UTC (vor 3 Jahren).
Voraussichtliche Dauer: Ungefähr zwei Stunden.
Treffpunkt: Dorf Anlor Winn, Almati-Wald.

Betroffene Homins: Alle.
Synopsis: Kommen Sie und erschrecken Sie Anlor Winn selbst mit Ihren Kreationen oder hören Sie einfach zu und ermutigen Sie die Geschichtenerzähler.
Weitere Informationen: RP-Mitteilung


#3 Melden | Zitieren[en] 

Event Suggestions:

1. I wound up with close to 15,000 Anlor Win tokens between left over's from last year and this year ... spent about a third of them trying to lose my soul and stock GH, ours and others, with max level stuff .... burning off the rest 1 at a time to get 250 "wundahamat" for Daily (Crafting) Missions has netted about a stack after 2,500 spins and (21) 250 Crystals / (23) 500 crystals. Everything else required clicking "Drop All" as no interest.

2. This year, it seemed we were hitting the same camps over and over again. Consider after 60 /60 a follow up where ya have to hit every tribe camp you hadn't visited.

While visiting the camps, add a "trick or treat" interaction with an NPC where ya can get one of the following:

a) get a small fixed number of sup mats (not more than 10, not less than 1)
b) get feared outta the camp
c) a mob pops and you have to kill to get the mats

The number of tribes + the "federales" (guard camps)should be enough to get ya a sampling of each mat. Tie the mat level to the player level in harvest.

Yes, I understand that the wheel i intended to be a time sink as well as add the excitement of chance .... but with the Anlor Winn tokens for example .... consider an alternative, whereby if ya have all the weapons / armor "lose your soul" rewards, there's options other than spinning the wheel 10,000 times.
wheel is intended to be both a time sink and

2 mal geändert | Zuletzt geändert von Maupas (vor 3 Jahren)

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#4 Melden | ZitierenMehrsprachig 

Mehrsprachig | English | Français | [Deutsch]

Die Geschichte von Fyrosfreddy, erzählt von Khandoma


Als ich eines Abends in der Fairhaven Bar saß, hörte ich eine Geschichte, die den Zustand der inzwischen verlassenen Corrie-Finley-Farm im Ursprung erklärte. Der Geschichtenerzähler/Reisende erzählte von der Begegnung mit dem Geist von Corrie Finley, die zusammen mit ihrem Mann Fyrosfreddy drei Jahrzehnte lang die Familienfarm in Fount betrieb.

Die Arbeit war hart, aber am schwierigsten war für Fyrosfreddy der Umgang mit seiner Frau Corrie. Sie war eine strenge Aufseherin und nichts, was er tat, war gut genug. Als er eines Tages eine Mittagspause einlegte, machte er offenbar eine zu lange Pause, und sie kam heraus, um mit ihm zu schimpfen.

Als sie mit ihrer Tirade begann, stand sie zufällig hinter Freddys Mektoub, der Freddy sehr liebte, aber seine Frau nicht besonders mochte. Als sie ihren Spazierstock hob, um ihm einen Schlag zu versetzen, damit er sich bewegte, trat der Mektoub ihr mit seinen Hinterbeinen an den Kopf und tötete sie.

Als die Trauerfeierlichkeiten abgehalten wurden, sagte der Mann, der die Geschichte in der Bar erzählte, dass Corries Geist anwesend war, als die Hominas nach oben gingen, um Freddy ihre Gefühle auszudrücken, und der Geist beobachtete, dass er nur mit einem Kopfnicken reagierte ...
Corries Geist beobachtete auch, dass er, wenn die Homins auf ihn zukamen, um mit ihm zu sprechen, zielsicher antwortete, indem er seinen Kopf nach links und rechts, hin und her drehte. Corrie war jedoch nicht in der Lage zu hören, welche Fragen sie Freddy gestellt hatten, auf die er mit Nicken und Kopfschütteln geantwortet hatte.

Der Geist von Corrie Finley sagte, dass sie nicht ruhen könne, ohne zu wissen, was ihr Mann Freddy gesagt habe, und dass der Geist den Reisenden so lange verfolgen würde, bis er es für sie herausfinde.

Der Reisende / Geschichtenerzähler suchte fünf lange Jahre lang, und jedes Jahr während Anlor Winn kehrte Corrie zurück und machte ihm das Leben zur Hölle. Seine Waffen verloren ihre Schärfe, seine Packer und sein Reittier wurden krank, und das Erntewetter verhinderte stets, dass er das bekam, was er brauchte.

Eines Tages traf er schließlich eine Homina namens Khandoma, die an den Gottesdiensten teilnahm.

Sie erzählte ihm, dass sie die Fragen der Homina an Freddy belauscht hatte: Sie wollten wissen, ob er weiterhin auf der Farm bleiben und sie mit all den Qualitätsprodukten beliefern würde, die Corrie im Laufe der Jahre auf den Markt gebracht hatte, woraufhin Freddy bejahend nickte.

Dann fragte der Geist ängstlich: "Und was war es, das die Homins Freddy fragten, als er antwortete, indem er seinen Kopf nach links und rechts drehte?" Der Reisende antwortete: "Die Homins wollten wissen, ob der Mektoub zu verkaufen sei, und wenn ja, ob er weniger als 10 Millionen Dapper nehmen würde."

6 mal geändert | Zuletzt geändert von Maupas (vor 3 Jahren)

#5 Melden | ZitierenMehrsprachig 

Mehrsprachig | English | [Français] | Deutsch

Une histoire terrifiante, racontée par Krill



Krill prend une bouteille de byrh pleine et se lève.
« Mon histoire se passe juste après le Premier Essaim, dans la région qu'on appelle aujourd'hui le Bosquet de la Confusion.
La région était encore largement inconnue lorsque... comment il s'appelait déjà ? Le père de machin ? Toub…
Bref. C'était juste après l'époque où la ville d'Yrkanis a été fondée… Ah ben oui. Par le père d'Yrkanis. Logique. »


Krill boit une byhr.
« Je disais quoi ? Ah oui. Y'avait un Matis qui s'appelait Velad, ou Valad. C'était un grand curieux, et il explorait la Forêt pour le compte de son roi. Le père d'Yrkanis... Et il était donc occupé à cartographier le labyrinthe au nord du Bosquet de la Confusion. Et c'était pas de tout repos. Encore pire qu'aujourd'hui. Il y avait quand même des homins qui s'étaient déjà installés. C'est que ça va plus vite de planter un camp que de fonder une ville, hein.
Et Velad tomba donc un jour sur un camp quelque part au Bosquet Supérieur. C'était pas un gros camp. Quelques poignées d'homins et d'homines tout au plus… »


Krill prend une bouteille de byrh pleine et se lève.
« … et c'était pas trop la joie dans leur campement. Il a fallu un peu de temps à Velad pour s'en rendre compte, d'ailleurs. Mais au bout d'un moment, il a fini par réaliser. Tout le camp crevait de trouille. Il les a fait un peu causer. Et alors, ils lui ont raconté. »

Krill finit sa bouteille de byrh.
« Ils lui ont raconté que, toutes les nuits, une bête énorme aux yeux rouges rôdait aux alentours. Qu'elle attaquait et mordait les homins, mais qu'elle ne les tuait pas. Et c'était ça le plus bizarre. On retrouvait ses victimes inconscientes le matin, quelque part autour du camp, sans aucun souvenir de ce qui s'était passé. Mais avec la trace des crocs dans la chair. Ensuite, ils faiblissaient, lentement mais sûrement, et finissaient par mourir. »

Krill cherche une nouvelle bouteille de byrh dans son sac et boit un coup.
« À l'époque, les homins ne s'étaient pas encore rendus compte que les Puissances pouvaient les ramener. Ou les Puissances ne le faisaient pas encore systématiquement.
Mais le pire, ce n'était pas ça. C'est que les corps, enterrés loin du campement, disparaissaient. Pas comme nous avec les Puissances. Non. Comme si quelque chose avait creusé l'écorce où ils reposaient, depuis le sous-sol, de l'intérieur. »


Krill fait une pause, et en profite pour boire un coup.
« Mais Velad avait vu beaucoup de choses, à commencer par le Premier Essaim. Il n'avait pas peur. Et donc, à la nuit tombée, il prit ses armes et se mit à faire des rondes autour du camp. »

Krill boit une bonne rasade de byrh et murmure pour elle-même : "Stupide Matis prétentieux."
« Mais bon. Ce qui devait arriver arriva et, à un moment de la nuit, Velad finit bien par tomber sur une bête gigantesque. Avec d'énormes yeux rouges. Et des dents plus grandes encore. »

Krill mime de gros yeux et des dents terrifiantes.
« Il était un peu prétentieux, c'est sûr. Mais il était aussi sacrément doué comme combattant, il faut bien le reconnaître. Et donc, il entama le combat. En essayant de rester hors de portée des crocs. Sans cesse, il frappait, parait, revenait à l'attaque. La bête esquivait, elle était rapide. Et elle ripostait. Mais Velad parait et revenait à l'attaque. Encore et encore.
Malgré tout, le combat était équilibré, aucun des deux adversaires ne parvenant à prendre l'avantage.
Et la nuit avançait, le jour approchait. »


Krill finit sa deuxième bouteille de byrh.
« Et, alors que la lumière commençait tout doucement à croître, la bête trébucha… Velad profita de l'occasion pour lui entailler profondément la patte avant droite.
La bête hurla de douleur.
Mais alors que Velad s'apprêtait à porter le coup de grâce, la bête fit brusquement demi-tour et s'enfuit dans ce qui restait de nuit… Velad manqua s'effondrer de fatigue et, quand même, un peu de soulagement.
Mais d'abord et avant tout, il vérifia rapidement ses blessures, car il se souvenait de ce que lui avaient dit ceux du camp. Il avait des griffures par dizaines, car les griffes de la bête étaient acérées aussi, mais heureusement il n'y avait pas trace de morsure.
Velad était épuisé, mais il regagna cependant le camp qui se réveillait doucement. Tout le monde était là, et quand la nouvelle du combat se répandit, tout le monde vint le féliciter. C'était la première fois que quelqu'un réussissait à affronter la bête avec succès, et tout le monde fit une grande fête. Et Velad rentra chez lui avec le sentiment du devoir accompli. »


Krill vide une bouteille de byrh d'un coup.
« Le plus drôle dans cette histoire, c'est que je n'ai jamais vu de tribu dans le labyrinthe du Bosquet Supérieur… »

Krill range ses bouteilles vides dans son sac.
« Par contre, qu'est-ce qu'il y a comme jugulas... »

Original

2 mal geändert | Zuletzt geändert von Maupas (vor 3 Jahren) | Grund: Original

#6 Melden | ZitierenMehrsprachig 

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Eine seltsame Geschichte, erzählt von Kyriann


Qi-Quang ist allein.
Obwohl sie noch sehr jung ist, genießt sie es, sich in dieser abgelegenen Ecke des Dschungels zu sammeln, weit weg vom Lärm der Homins, gewiegt von einer sanften Brise auf ihrer Maske.
Plötzlich läuft ihr ein Schauer über den Rücken; um sie herum hat sich ein kalter Wind erhoben, ein böser Wind. Doch sie bleibt gelassen. Der Aberglaube der Tryker kann ihr keine Angst machen.
Nebel steigt aus der Rinde auf, betäubt Geräusche und verwischt die Konturen. Sie schließt die Augen und nimmt ihre Meditation wieder auf. Eine Berührung, die sich wie eine feine Spitze über ihre Maske legt, lässt sie aufschrecken und sich umsehen.
Doch sie sieht nur die geliebte Landschaft, die durch den Nebel in weite Ferne gerückt ist.
"Ma-Duk liebt mich, er testet meine Konzentration".
Plötzlich greift sie an ihre Maske: "Aua!". Etwas hat sie gekratzt, sie spürt den Kratzer auf der glatten Oberfläche ihrer Maske. "Wer ist da?"
Aber ihr Schrei scheint den Nebel nicht zu durchdringen und nichts antwortet. Sie versucht, sich selbst zur Vernunft zu bringen: "Es ist deine Angst, die dich dazu bringt, dir Dinge einzubilden! Die Kami beschützen dich!" Doch als sie diese Worte zu Ende gesprochen hat, spürt sie einen kleinen Zug an ihrem Stirnhorn. Sie streicht durch die Luft vor sich. Der Zug verschwindet.
"Zeigt euch!" Wieder antwortet ihr die Stille.
Der Zug ist diesmal brutaler und sie greift mit beiden Händen an ihre Maske. "Nein!!!" Sie springt auf die Füße und rennt geradewegs nach vorne, wo der Nebel weniger dicht zu sein scheint. Als es ruhiger wird, wird sie langsamer und sucht nach Luft.
Der heftige Schlag auf ihr Horn rührt sie zu Tränen. Sie hat das Gefühl, dass ihr Horn abgerissen wurde. Aber nein, ihre Hände sagen ihr das Gegenteil. Die Angst wirft sie in eine verzweifelte Flucht.
Endlich löst sich der Nebel auf. Vor ihr taucht der Schrein von Ma-Duk auf. Sie ist gerettet. Sie bricht weinend zusammen. Mechanisch führt sie ihre Hand zu ihrer Maske. Der Kratzer ist verschwunden. Es war nur ihre Einbildung.
Sie geht auf Chaoi zu, um ihm ihr Missgeschick zu erzählen, als ihr Blick von einer Bewegung zu ihren Füßen angezogen wird. Ihr Maskenhorn rollt auf sie zu, während sie schluchzend nach ihrer verstümmelten Maske tastet.

2 mal geändert | Zuletzt geändert von Maupas (vor 3 Jahren)

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Eine schreckliche Geschichte, erzählt von Nizyros


Dies ist eine schreckliche Geschichte, die schon viel zu lange in Vergessenheit geraten ist...
Es war eine Nacht wie diese, die von schweren, dichten Nebeln erfüllt war.
Nobuki schlenderte durch eine dunkle Straße in Pyr, wie jede Nacht.
Nobuki hatte kein Zuhause, er war ein sehr freundlicher, von allen geliebter Schlafloser im Badeviertel von Pyr. Aber in dieser Nacht fühlte er sich nicht wohl, ihm war zu heiß, er erstickte sogar. Normalerweise sind die Nächte im Herbst kühl, aber hier ... diese Hitze ...
Er ging weiter, als seine Gedanken von ... dem Boden ... unterbrochen wurden. Auch er wurde heiß ... seine Stiefel ... seine Sohlen schmolzen ... so klebte er am Boden, der über eine riesige Distanz und mit einer erschreckenden Geschwindigkeit immer mehr schmolz ...
Dann bildete sich in der Mitte eine Art Siphon und saugte den gesamten Boden bis zu den Füßen des armen Nobuki ein. Ein orangefarbenes Leuchten schoss daraus hervor, gefolgt von noch stärkerer Hitze ...
Nobuki spürte, wie seine Haut auf seinen Wangen schmolz, seine Finger wurden zu schwarzem Gelee, seine Augen traten aus den Augenhöhlen, seine Nase verschwand, als würde sie vom Rest des Gesichts eingesaugt...
Dann verwandelte sich sein ganzer Körper in einen menschlichen Brei, der unter einem dünnen Haufen Kleidung zerrann!!!
Bis heute wurde die Straße wieder aufgebaut und die Geschichte unseres Nobuki vergessen.
Aber eines ist sicher: Man sollte nachts in Anlor-Winn nie allein durch die Straßen gehen!

Zuletzt geändert von Maupas (vor 3 Jahren) | Grund: Original

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Die Legende des abstoßenden Yubo, erzählt von Rizyinshi


Du bist gekommen, um dich von Gruselgeschichten erschrecken zu lassen.
Traurigerweise kenne ich keine.
Keine, die gruseliger ist als der Geister-Yubo.
Viele sind den geheilten Stiefeln zum Opfer gefallen.
Dieses Glühen von übernatürlich geladener Yubo-Pisse.
Für einmal hat der Geister-Yubo deine Schuhe markiert.
Du brauchst dich nicht um soziale Distanz zu sorgen.
Die Leute werden dich meiden.
Verabredungen werden abgesagt. Aber du wirst eine Menge Freizeit haben.
Du siehst, Anlor Winn fürchtet den Geister-Yubo... genau wie ich.

3 mal geändert | Zuletzt geändert von Maupas (vor 3 Jahren)

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Eine kuriose Geschichte, erzählt von Umaena


Es war ein strahlender Herbstnachmittag und ich hatte mich auf den Weg gemacht, den Dschungel der Städte der Einsicht zu erkunden.
Als sich der Tag dem Ende zuneigte und ich mich am Rande des Jungfernhains beeilte, um nicht von der Nacht überrascht zu werden, stieg dichter Nebel aus dem Boden auf. Schnell war ich von den Nebeln umringt. Die Luft war eiskalt und ich konnte nicht mehr weiter als drei Meter weit sehen.
Kein Geräusch aus dem üppigen Dschungel drang mehr an meine Ohren. Ich war besorgt und irrte mehrere Stunden lang umher, ohne zu wissen, wohin ich wirklich ging, bis ich auf einen Baum mit einem hohlen Stamm stieß. Erschöpft kauerte ich mich in die Höhle und schlief nach kurzer Zeit ein.
Mitten in der Nacht wurde ich plötzlich geweckt. Ich weiß nicht genau, warum.
Der Nebel hatte sich gelichtet und ein Licht in der Ferne erregte meine Aufmerksamkeit.
Als ich mich vorsichtig näherte, sah ich, dass es sich um eine einfache Holzhütte handelte, die an einem Steilhang stand und aus deren offener Tür ein sanftes Licht strömte. Ermutigt beschloss ich, zur Tür zu gehen. Zwei junge Zorai saßen um einen gedeckten Tisch herum. Sie waren weiß gekleidet, hatten feine, anmutige Gesichtszüge, eine blassblaue Hautfarbe und eine makellose Maske.
Als sie mich sahen, standen sie auf und begrüßten mich in der Sprache der Zorai. Ich stellte mich vor und erzählte ihnen von meinem Missgeschick. Sie begrüßten mich freundlich und luden mich ein, an ihrem Essen teilzunehmen. Ich legte meine Handschuhe auf eine Ecke des Tisches und nahm einen Hocker.
Wir aßen und sie erzählten mir, dass sie zwei Ernteschwestern waren, die in diesem bescheidenen Haus lebten. Ich verbrachte einen sehr angenehmen Abend mit ihnen. Wir unterhielten uns lange und ausgiebig und scherzten bis spät in die Nacht. Die Müdigkeit übermannte uns und sie boten mir einen bequemen Sessel an. Ich nahm den Vorschlag gerne an und kuschelte mich in den Sessel. Auch dieses Mal dauerte es nicht lange, bis ich einschlief.
Bei Sonnenaufgang wurde ich ruckartig geweckt.
Ich war überrascht, als ich feststellte, dass ich mich in den Baum gekuschelt hatte. In der Ferne fiel mir jedoch etwas auf... Wie in der Nacht zuvor stand dort eine Hütte, die sich an einen Steilhang lehnte, aber in sehr schlechtem Zustand war. Neugierig näherte ich mich der Tür und trat ein.
Das Innere war ähnlich wie die Hütte der beiden Zorai, schien aber seit Jahrhunderten verlassen zu sein.
Ein großer Tisch und drei Hocker, die mit Staub und Spinnweben bedeckt waren, standen dort.
Verwirrt wollte ich gerade gehen, als ich sie plötzlich dort an der Ecke des Tisches liegen sah: Mein Paar Handschuhe, in perfektem Zustand, in der gleichen Position, wie ich sie in Erinnerung hatte.
Von einem plötzlichen Gefühl des Unbehagens gepackt, nahm ich sie an mich und verließ eilig die Hütte.
Was war in dieser Nacht passiert? Hatte ich geträumt? Hatte mir der Schlechte Wind einen Streich gespielt?
Oder vielleicht war es nur eine Geschichte? Wer weiß?

3 mal geändert | Zuletzt geändert von Maupas (vor 3 Jahren)

#10 Melden | ZitierenMehrsprachig 

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Eine traurige Geschichte, erzählt von Wieny


Dies ist die Geschichte eines Kindes, dessen Familie davon überzeugt war, dass es verflucht war.

Von seiner Geburt an wollte man sehen, wie sich der Fluch äußern würde. Alle beobachteten ihn beim Aufwachsen und fragten sich, wie sich der Fluch wohl äußern würde. Die Jahre vergingen und der Verfluchte wuchs zu einem starken und vielversprechenden jungen Homin heran, der jedoch nicht in der Lage war, die Segnungen zu erkennen, mit denen die Natur ihn ausgestattet hatte. Er lebte am Rande seines Volkes, erlebte ihre implizite Ablehnung und wusste, dass sie ihm ein schreckliches Schicksal bereiten würden, sollte er sich als so verflucht erweisen, wie man annahm. Und er hielt sich von anderen Homins fern, weil er Angst davor hatte, denselben Fluch auf ihr Haupt zu ziehen.

Eines Tages jedoch, als er am Rande einer Versammlung wie der unseren stand, bemerkte ihn eine der Anwesenden und lächelte ihn an. Dieses Lächeln erwärmte das Herz des Verfluchten, denn er hatte selten ein so aufrichtiges Lächeln gesehen. Einige Zeit später begegnete er dieser Person wieder und sie hielt kurz inne, um mit ihm zu sprechen, immer noch mit so viel Freundlichkeit. Der Verfluchte wusste, dass er sich von ihr fernhalten musste, um den Fluch nicht auf sich zu ziehen, aber ihre Sanftheit tat ihm so gut, dass er ihre Gesellschaft suchte. Bevor er sich versah, war er zutiefst verliebt.

Es war jedoch eine Liebe ohne Hoffnung. Er konnte sie nicht ausleben, weil er Angst vor den Reaktionen seiner Familie hatte. Und er verstand sehr schnell, dass Mayu, seine große Liebe, für viele Menschen genauso viel Güte und Sanftheit zeigte. Mayu liebte die Menschen, aber sie liebte den Verwünschten nicht so sehr, wie dieser sie liebte. Allein am Rande der Welt zu sein, wenn man nichts anderes gekannt hat, ist schon schrecklich traurig. Aber wenn man einmal die Hoffnung gekostet hat, zu zweit zu sein, wird es unerträglich, diese Einsamkeit zu akzeptieren.

Der Verfluchte versuchte, auf Mayu zu verzichten, aber ausnahmslos landete er an ihrer Seite, wenn sich die Gelegenheit ergab. Wenn ein Ragus Mayu in Gefahr brachte, dann eilte der Verfluchte herbei, schlug das Raubtier in die Flucht und hob seine Liebe wieder auf, wobei er die Tiefe seiner Verwirrung verbarg. Wenn Mayu eine Geschichte wollte, dann ging der Verfluchte, um eine Geschichte zu finden, und wenn Mayu Frieden wollte, dann zog sich der Verfluchte zurück und weinte über die Kälte seiner Liebe. Der Verfluchte war eifersüchtig auf jeden, der sich Mayu nähern konnte. Doch wenn Mayu sie liebte, dann bemühte er sich, sie auch zu lieben. Der Verfluchte wurde von dieser Einsamkeit ebenso verrückt wie von dieser unmöglichen Liebe. Jeden Tag entfernte er sich weiter von seiner Familie. Jeden Tag spielte er mit dem Gedanken an den Fluch, fragte sich, ob er der Schlüssel zu seiner Befreiung sei, und fürchtete sich gleichzeitig davor, daran zu denken. Seine Familie beobachtete ihn und Mayu wusste nichts davon.

Das Dasein wurde ihm so schwer, dass er sich nur noch nach einem sehnte: dass seine Lebenssaat zerbrechen würde.
Manchmal träumte er jedoch davon, dass der Lebenssamen aller anderen Homins zerbrechen würde. Sogar der von Mayu. Dann entsetzte ihn dieser Gedanke. Sein Wahnsinn wurde immer größer. War es der Fluch, der endlich zum Ausdruck kam, oder musste er das, was ihm vorhergesagt worden war, Wirklichkeit werden lassen? Er wurde immer gewalttätiger und verbitterter, bis er jeden Funken Liebe und Sanftmut in seinem Herzen auslöschte.

Ich würde gerne sagen, dass diese Geschichte gut ausgegangen ist und dass eine Lösung gefunden wurde. Leider ...

Der Verfluchte begegnete schließlich einem Zauberer mit ungeheuren Kräften. Dieser Zauberer wusste viele Dinge, die den gewöhnlichen Homins nicht zugänglich waren. Er hätte den Verfluchten von seinem Fluch befreien, seine Familie zärtlicher machen oder dem Verfluchten helfen können, sich bei Mayu beliebt zu machen. Er hätte ihr die Geheimnisse der Nacht und der Zeit enthüllen können, was diese Geschichten sinnlos gemacht hätte. Aber der Verfluchte glaubte an nichts von all dem und hoffte auf nichts mehr. Er bat den Zauberer um die einfachste Sache der Welt für jemanden wie ihn: um etwas, womit man einen Samen des Lebens zerstören könnte. Das war vielleicht einfach, aber es war auch traurig, und der Zauberer versuchte, den Verfluchten von seinem Ziel abzulenken, indem er einen viel zu hohen Preis verlangte.
Doch der Verwünschte zahlte den Preis und schluckte das Gift.

Die Geschichte erzählt nicht, ob jemand den Tod des Verfluchten betrauerte. Doch der Mann, der mir diese Geschichte erzählte, hatte Tränen in den Augen. Wer weiß, woher diese Tränen kamen? Wenn der Wind von Anlor Winn weht, kümmern Sie sich um Ihre Lieben.Lieben Sie sie voll und ganz und bedingungslos. Es gibt kein besseres Mittel gegen Flüche.

Zuletzt geändert von Maupas (vor 3 Jahren)

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