.
Eolinius était en train de s’entraîner consciencieusement à l'art de l'épée dans la région de l'île enchantée quand un izam multicolore se mis à tournoyer autour de lui. Il regarda un instant le volatile puis saisit le rouleau que celui-ci tenait entre ses pattes. Eolinius s'assit en dégrafant son casque et respira un grand coup. Un izam comme celui là ne pouvait venir que d'une seule personne. Il n'aimait pas trop les izams. Ceux qu'il recevait généralement étaient les factures qui venaient d' O'Cauty Eoppie pour l'entretient de son mektoub. Mais là, c'était différent. Hier était arrivé un drôle d'izam portant un message imprévu d'Ubhal, qu'il appelait toujours Nair-PeatPom. Un message court et inattendu après des semaines sans nouvelles :
Il lui avait répondu inquiet en lui demandant si elle allait bien au milieu de ces … enfin, elle avait fait son choix. Et aujourd’hui un autre qui arrive.
Celui qu'il venait de recevoir était beaucoup plus long. Eolinius le déplia et fit la grimace. Il était entièrement rédigé en Tyll. Il n'avait jamais osé dévoiler son origine à quiconque car il avait peur qu'on se moque de lui, mais il se dit qu'il faudrait bien qu'il en parle un jour aux gens qui lui sont proches. La seule langue qu'il avait appris dans son enfance était l'Atysien courant et cosmopolite des réfugiés. Le Tyll, malgré ses efforts, il le maîtrisait assez mal.
Il sortit son carnet et feuilleta les dernières pages ou il avait recopié certains mots dont-il oubliait toujours la signification. Après de longues minutes de concentration il finit la traduction et sourit en relisant tout le message et en pensant à Pom. Il y avait quand même un passage qui lui paraissait bien énigmatique a ses yeux :
Même s'il y avait quelques arrangements avec les puissances, c'était pousser le bouchon un peu loin.
Les maraudeurs prennent-ils toujours la vie à la légère ?
Eolinius était en train de s’entraîner consciencieusement à l'art de l'épée dans la région de l'île enchantée quand un izam multicolore se mis à tournoyer autour de lui. Il regarda un instant le volatile puis saisit le rouleau que celui-ci tenait entre ses pattes. Eolinius s'assit en dégrafant son casque et respira un grand coup. Un izam comme celui là ne pouvait venir que d'une seule personne. Il n'aimait pas trop les izams. Ceux qu'il recevait généralement étaient les factures qui venaient d' O'Cauty Eoppie pour l'entretient de son mektoub. Mais là, c'était différent. Hier était arrivé un drôle d'izam portant un message imprévu d'Ubhal, qu'il appelait toujours Nair-PeatPom. Un message court et inattendu après des semaines sans nouvelles :
« Y vous aime toujours Yem Tallai »
Il lui avait répondu inquiet en lui demandant si elle allait bien au milieu de ces … enfin, elle avait fait son choix. Et aujourd’hui un autre qui arrive.
Celui qu'il venait de recevoir était beaucoup plus long. Eolinius le déplia et fit la grimace. Il était entièrement rédigé en Tyll. Il n'avait jamais osé dévoiler son origine à quiconque car il avait peur qu'on se moque de lui, mais il se dit qu'il faudrait bien qu'il en parle un jour aux gens qui lui sont proches. La seule langue qu'il avait appris dans son enfance était l'Atysien courant et cosmopolite des réfugiés. Le Tyll, malgré ses efforts, il le maîtrisait assez mal.
Il sortit son carnet et feuilleta les dernières pages ou il avait recopié certains mots dont-il oubliait toujours la signification. Après de longues minutes de concentration il finit la traduction et sourit en relisant tout le message et en pensant à Pom. Il y avait quand même un passage qui lui paraissait bien énigmatique a ses yeux :
« La Mort n'est que rarement définitive.... Beaucoup ne vieillissent même pas »
Même s'il y avait quelques arrangements avec les puissances, c'était pousser le bouchon un peu loin.
Les maraudeurs prennent-ils toujours la vie à la légère ?