L'homin assit en face de moi n'a pas fière allure. Il semble… vouloir être ailleurs. Un peu tremblant. Je fais claquer ma langue contre mon palais ; l'homin sursaute. Il a peur.
- Comment t'appelles-tu, mon ami ? Je lui demande.
- J-je… Je m'appelle Vernesson, répond-il en bégayant.
- Vernesson. Bien. Comment se porte ta famille, Vernesson ?
Son expression passe de l’inquiétude à la terreur.
- Je t'en supplie, ne fais pas de mal à ma famille…
Ça y est, je suis énervé. Je frappe du poing la table qui nous sépare, dans cette cabane sordide.
- Tu me prends pour un criminel sans pitié ni vergogne, Vernesson ?!
Il me dévisage, toujours avec son air terrifié. Il ne comprend pas. Je fais le tour de la table pour le libérer de ses entraves.
- Si tu sors d'ici sans que je t'y invite, je te massacre. Nous allons jouer à un petit... jeu, Vernesson.
- Qu-quel genre de jeu ? Balbutie-t-il.
- Pose une de tes mains sur la table.
Il s’exécute sans trop comprendre. Je pose ma main droite sur la sienne en souriant et la plaque avec force contre la table, l'empêchant de l'enlever.
Alors qu'il esquisse un mouvement de son autre main pour se soustraire à mon étreinte, je saisis une lame et la plante au milieu de sa main ; elle la traverse ainsi que la table. L'homin hurle de douleur et ne peut plus bouger.
- Je disais donc… un jeu.
Vernesson gesticule dans tous les sens pour essayer de partir. Je saisis une deuxième lame et la plante cette-fois à travers nos deux mains l'une sur l'autre. Je serre les dents pour ne pas hurler, et j'observe le visage de Vernesson. Outre la douleur, mon sang commence peu à peu à se déverser dans ses veines, le long de la lame. Il se débat comme un forcené mais ne parvient pas à se libérer. Soudainement, son comportement change ; il hurle plus fort et est parcouru d'étrange spasmes. Les veines de son bras et de son cou gonflent les unes après les autres. Après trente petites secondes, il s'effondre sur la table et ne hurle plus. Je m'empresse de retirer la lame de ma main et de me faire un bandage, j'ai pas vraiment envie de perdre tout mon sang. Une fois cela fait, je cherche le pouls de l'homin, sans y parvenir.
Il est donc bien mort.
C'est intéressant.
- Comment t'appelles-tu, mon ami ? Je lui demande.
- J-je… Je m'appelle Vernesson, répond-il en bégayant.
- Vernesson. Bien. Comment se porte ta famille, Vernesson ?
Son expression passe de l’inquiétude à la terreur.
- Je t'en supplie, ne fais pas de mal à ma famille…
Ça y est, je suis énervé. Je frappe du poing la table qui nous sépare, dans cette cabane sordide.
- Tu me prends pour un criminel sans pitié ni vergogne, Vernesson ?!
Il me dévisage, toujours avec son air terrifié. Il ne comprend pas. Je fais le tour de la table pour le libérer de ses entraves.
- Si tu sors d'ici sans que je t'y invite, je te massacre. Nous allons jouer à un petit... jeu, Vernesson.
- Qu-quel genre de jeu ? Balbutie-t-il.
- Pose une de tes mains sur la table.
Il s’exécute sans trop comprendre. Je pose ma main droite sur la sienne en souriant et la plaque avec force contre la table, l'empêchant de l'enlever.
Alors qu'il esquisse un mouvement de son autre main pour se soustraire à mon étreinte, je saisis une lame et la plante au milieu de sa main ; elle la traverse ainsi que la table. L'homin hurle de douleur et ne peut plus bouger.
- Je disais donc… un jeu.
Vernesson gesticule dans tous les sens pour essayer de partir. Je saisis une deuxième lame et la plante cette-fois à travers nos deux mains l'une sur l'autre. Je serre les dents pour ne pas hurler, et j'observe le visage de Vernesson. Outre la douleur, mon sang commence peu à peu à se déverser dans ses veines, le long de la lame. Il se débat comme un forcené mais ne parvient pas à se libérer. Soudainement, son comportement change ; il hurle plus fort et est parcouru d'étrange spasmes. Les veines de son bras et de son cou gonflent les unes après les autres. Après trente petites secondes, il s'effondre sur la table et ne hurle plus. Je m'empresse de retirer la lame de ma main et de me faire un bandage, j'ai pas vraiment envie de perdre tout mon sang. Une fois cela fait, je cherche le pouls de l'homin, sans y parvenir.
Il est donc bien mort.
C'est intéressant.