A mon réveil, je ne sais pas où je suis. J'ai du mal à me rappeler d'où je viens, ce que je faisais. Alors que le flou s’atténue, j'aperçois un plafond. Bien, je suis dans un bâtiment.
Quel est mon nom ?
Une voix étrange répond à ma question.
- Hantā. Ton prénom. Tu te présente sous le nom de Rook. Je restreins actuellement l'accès à ta mémoire, car le souvenir de la douleur est souvent plus fort que la douleur elle-même.
La voix résonne dans ma tête, partout et nulle part.
- A qui ai-je l'honneur ? Je demande sur un ton ironique.
- L'ombre de toi-même, ta seconde partie, ton âme, ton inconscient, tout et rien, toi, moi, un être fictivement réel, et réellement fictif.
- Ça aime les présentations théâtrales, en tout cas.
- Appelle moi Greed.
- Très bien, Greed. Je vais t'épargner les questions habituelles à propos de ta présence dans ma tête car je présume que tu n'es pas là que depuis les deux dernière minutes et que je te les ai déjà posées.
- T'es nettement plus marrant sans mémoire, Hantā. L'ironie, l'aplomb, ce sont des choses que tu as perdues.
Soudain, il semble qu'une porte en moi-même s'ouvre, et une quantité incroyable d'informations déferle sur mon esprit. Le pays matis, le sang. Le désert, la solitude. Les Rangers. Les Maraudeurs. La Forêt encore une fois. La douleur.
Je me souviens. La colère m'envahit par-dessus ce souvenir de douleur, fureur d'incompréhension dirigée vers Lui.
- Hantā. Ce que tu as subis, ce que je t'ai fait subir, était une initiation. Ton esprit connaît désormais toutes les sortes de douleurs que vous, homins, pouvez subir. Cela te mène sur les marches de la vérité.
- La vérité, Dira ?! Je fulmine.
- Greed.
- Je te la demande, la vérité, depuis le début. J'ai effectué ton petit test puéril, j'ai tué sur ta volonté, pour l'obtenir cette fameuse vérité, et tu m'offres la douleur ?! Je n'avais pas besoin de toi. Je n'avais pas besoin que tu prennes le contrôle de mon esprit.
- Mais quel vérité crois-tu que tu cherches ? La vérité, c'est le pouvoir. Le pouvoir d'avoir ce que l'on veut, le pouvoir de régner. Maintenant écoute-moi, petit. Je suis ton Gardien. Mon nom est Greed. Je peux te mener au pouvoir. Ne le désires-tu pas ?
Je ne réponds pas, je suis beaucoup trop confus. Je ne sais pas ce que je veux. Je ne sais plus ce que je cherche. J'ai besoin de pouvoir me reposer sur quelqu'un.
Et je crois qu'Il est là pour ça.
Quel est mon nom ?
Une voix étrange répond à ma question.
- Hantā. Ton prénom. Tu te présente sous le nom de Rook. Je restreins actuellement l'accès à ta mémoire, car le souvenir de la douleur est souvent plus fort que la douleur elle-même.
La voix résonne dans ma tête, partout et nulle part.
- A qui ai-je l'honneur ? Je demande sur un ton ironique.
- L'ombre de toi-même, ta seconde partie, ton âme, ton inconscient, tout et rien, toi, moi, un être fictivement réel, et réellement fictif.
- Ça aime les présentations théâtrales, en tout cas.
- Appelle moi Greed.
- Très bien, Greed. Je vais t'épargner les questions habituelles à propos de ta présence dans ma tête car je présume que tu n'es pas là que depuis les deux dernière minutes et que je te les ai déjà posées.
- T'es nettement plus marrant sans mémoire, Hantā. L'ironie, l'aplomb, ce sont des choses que tu as perdues.
Soudain, il semble qu'une porte en moi-même s'ouvre, et une quantité incroyable d'informations déferle sur mon esprit. Le pays matis, le sang. Le désert, la solitude. Les Rangers. Les Maraudeurs. La Forêt encore une fois. La douleur.
Je me souviens. La colère m'envahit par-dessus ce souvenir de douleur, fureur d'incompréhension dirigée vers Lui.
- Hantā. Ce que tu as subis, ce que je t'ai fait subir, était une initiation. Ton esprit connaît désormais toutes les sortes de douleurs que vous, homins, pouvez subir. Cela te mène sur les marches de la vérité.
- La vérité, Dira ?! Je fulmine.
- Greed.
- Je te la demande, la vérité, depuis le début. J'ai effectué ton petit test puéril, j'ai tué sur ta volonté, pour l'obtenir cette fameuse vérité, et tu m'offres la douleur ?! Je n'avais pas besoin de toi. Je n'avais pas besoin que tu prennes le contrôle de mon esprit.
- Mais quel vérité crois-tu que tu cherches ? La vérité, c'est le pouvoir. Le pouvoir d'avoir ce que l'on veut, le pouvoir de régner. Maintenant écoute-moi, petit. Je suis ton Gardien. Mon nom est Greed. Je peux te mener au pouvoir. Ne le désires-tu pas ?
Je ne réponds pas, je suis beaucoup trop confus. Je ne sais pas ce que je veux. Je ne sais plus ce que je cherche. J'ai besoin de pouvoir me reposer sur quelqu'un.
Et je crois qu'Il est là pour ça.