ROLEPLAY


[FR] journal d'une homine sans importance.

[FR]
Leeis est à Avalae la cité qui abrite sa Noble Maison.

Elle profite des leçons d'un Maître en Forage :

Attentive, elle prend des notes et des schémas. La leçon terminée elle rentre chez elle afin de se changer : Les Travaux Pratiques sont toujours salissants…
Elle se désaltère avec une tisane de fleur séchée. Et mange quelques fruits.
Ses frugales agapes terminées, elle prend le chemin de la grande serre d'Yrkanis afin de méditer en profitant de la tranquillité du lieu.



Installée en seiza, gardant les mains modestement pliées sur ses genoux resserrés, Leeis ignore les fourmis qui envahissent progressivement ses jambes.
Respirant calmement, elle ignore les sensations de brûlures dans ses cuisses. Elle reste impassible, le dos bien droit et détendu.
Concentré elle prie se laissant submerger par la beauté environnante :

« ….Atafila Mère, pour tous les bienfaits que tu m'as accordée »


un individue armé et casqué de noir pénètre le lieu sacré…

« ...ne te remercie pour les bontés que tu m'as octroyée... »


L'homin regarde Leeis avec intensité…

« ...ne te remercie pour la beauté du monde... »


Le sombre personnage l'observe en silence…

« ...ne souhaite, qu'il te plaira d'accorder aux égarés le bonheur de te rencontrer... »


Leeis s'incline respectueusement vers le sol et remercie une dernière fois la Mère.
Elle se relève avec dignité et s'incline à nouveau,

...heureuse.


Le tryker inquiétant croise les bras d'un air amusé et satisfait. Il regarde Leeis se diriger vers une des pièces du haut. Il la suit de loint, jouant avec ses dagues antagonistes qui luisent d'une lumière malsaine…

L'homin pénètre subrepticement dans la pièce où Leeis répète les gestes et les postures propres à l'escrime de la dague et de l 'épée. Son style est encore brouillon et hésitant.

Sous son casque, le mystérieux homin sourit, narquois.

Leeis sent un danger.
Elle se retourne brusquement…
Elle est prête à frapper.

Elle découvre l'homin dans son armure noire deux dagues en main.
Elle observe, évalue le danger…

Il porte l'insigne des Syndicate !!
Un Maraudeur !!


Que fait-il ici ?

Elle est isolée, les paroles de Serae Wu She Peng lui reviennent à l'esprit :
« en cas de danger, fuis si tu le peux et préviens-nous »


Alors, elle range ses armes, se redresse, salut respectueusement l'étranger et se dirige doucement vers la sortie.

Il la regarde, amusé, et la suit.

Une fois sortie, Leeis se met à courir vers l'autre pièce où elle s'embusque les armes à la main derrière la porte…

Son souffle est court et saccadé. Elle se force à reprendre le contrôle comme le lui ont appris les maîtres.
Sans savoir comment, elle se sait en danger…

le temps passe et personne ne vient…

l'angoisse de Leeis augmente, elle se sent traquée comme les soirs où « Sa Serkin » venait la visiter

au bout d'un moment, la voix de son poursuivant :

« ne bouge pas. »

« ne me fuis pas, cela risque de me contrarier... »
« ...cela serait malheureux. »


Leeis : « ne nec fuis ! Que faites-vous ici ?
Par La Mère et notre Karan, ici n'est pas votre place. »

« Mens-moi encore… Que je puisse rire... »


Leeis : « Ne nec eis minea langue fourchue !!
…ne répète ma question, que faites-vous ici ?! »

« Qu'ai-je besoin d'une raison pour me faufiler discrètement entre les murs des villes mal gardées…
Je vais...où je veux.... »


Leeis « Na ancien Serkin vous a mandaté afin de me punir une nouvelle fois ? »

« Ser qui ?
Ne me confonds pas avec un autre...
Je ne suis ici au nom de personne... »


La petite matis semble soulagée.

« …Qu'en mon propre nom, parce que je le désire. »


Leeis semble intriguée, peut-être devrait-elle appeler la garde ?

L'homin en noir suit le regard de l'homine et semble lire dans ses pensées :

« Cela dépend…
Si tu souhaites mourir, je t'y encourage…
Par contre cela serait bien décevant. Je ne suis pas venu pour faire couler ta sève. »


Leeis ne semble pas impressionné :

« la mort n'est qu'un passage que la Mère éclaire pour ses enfants…
n'ai nec raison de craindre la route éclairée par ma Mère.
Elle est bonne et ne peu mener ses enfants que vers le bonheur.

Alors pourquoi êtes-vous venu Ser mystérieux ? »

« Tu devrais craindre la lenteur avec laquelle je pourrais t'y mener…
…de longues heures de souffrance…

ne me tente pas. »


Leeis écoute et grogne le regard plongeant dans le passé :
« la souffrance…

n'ai connue que cela…
Mais Na Serkin a payé pour cela aussi.

Alors... »

« Ne m'appelle pas Ser,
cela m'insulte.

Tu pourrais connaître pire, en me connaissant. »


Leeis l'air très grave : « Ne nec pense que cela soit en votre pouvoir. »

Le Maraudeur, en souriant, attrape Leeis par le collet et la soulève :
« tu veux voir… ?
tu passes ton tour… ?

Je ne plaisante pas !!!

Quel est ton nom Matisse ? »


Leeis dignement :
« Ne eis Leeis Necyene
Homine,
Officier de la Noble maison La firme
sujet aimant di na Karan
Fille obéissante di Jena.

Et vous quel est votre nom bandit ?! »

« J'en ai plusieurs.
Beaucoup m'appellent, le Dément, le Fou, ou Espèce de taré. »


Leeis prenant une voix étrange : « sauve-toi Leeis ! »

Il ricane.

La voix étrange :
« d'autre vous appellent Ezekiel…
Ou Ezek le tourmenteur d'Anonyma Mac'Fay !
Y vous nomme maintenant : celui qui a abandonné son clan ! »

Ezek dit :
« Continus...quoi d'autre...
Dis-moi ce que tu penses savoir ? »


Il écoute attentivement.

Leeis reprenant sa voix normale : « STOP Démon laisses moi ce n'est pas ton tour !! »
Leeis grimaçant sous l'effort : « Mais sul ne comprends pas Leeis… c'est Ezek de la Sève Noire ! »

Ezek écarquille les yeux.

La voix étrange de Leeis : « laisse-moi faire Na-Matisse ! »

Ezek les yeux brillants d’excitation :
« Je le savais…
tu n'es pas normale…

ha Ha HA ! »


la Matisse se jette sur le Maraudeur dans l'espoir de l'égorger.

Mais si les coups de cette étrange homine portent, ils manquent de force et de précision. Son corps s'affaiblit vite.
Le Criminel admire ses blessures comme on regarderait des égratignures et hurle d'un rire dément…
La Tueuse à l’œuvre comprenant la vacuité du combat cesse et range ses armes.

Ezek intrigué :
« D’où connais-tu… Anonyma Mac'Fay ?

Parle ! Je suis toute ouïe... »


La voix étrange : « Nair'Nizyros m'a raconté al y étais présente lors de sul capture... »

Ezek au comble de la curiosité :
« Mais parle !!
Je veux ce que tu sais....

Nizyros n'est qu'un petit pion Fyros. IL ne sais presque rien ».


La voix étrange continuant : « y ai vu le résultat »

Ezek :
« Et de toute façon…
Comment peux-tu prétendre le savoir… Si tu t'adresses à des Fyros…?

Hu hu...

Bien qu'il soit Tryker,
Une Matisse « respectable » comme toi...ne devrait même pas lui adresser la parole… »


le visage grimaçant de Leeis semble s'amuser de la méprise de son interlocuteur.

« y ai connu Ser Accour al y n'est à me justifier devant personne et encore moins devant toi ! »

Ezek un sourir pervers au visage enlève son casque. :
« Tu es bien insolente.
Pour une créature si fragile… »


Leeisnecyene avec un accent tryker:

« beaucoup t’ont cru mort....

…Pas moi ! »

Ezek comprenant enfin :
« Comment est-ce arrivé…
Pourquoi êtes-vous deux...
…Peut-on savoir qui es-tu ?...

Toi qui te caches dans l'ombre de cette belle petite tryker. »


Leeisnecyene reprenant sa voix:
« STOP!!!
Mère aide-moi à  me défendre de ce démon !! »

Ezek corupteur :
« Ne lutte pas Leeis Necyene, laisse toi aller ».


Doucement, imperceptiblement les traits de la Matisse s'apaisent. Elle reprend le contrôle…

Ezek tentant l'impossible :
« Ne veux-tu pas savoir ?
...ne veux-tu pas connaître la vérité ? »


Leeis :
« ne nec veux savoir ce que vous voulez,
...petite personne que ne nec connais.

 mais vous faites erreur :
ne nec eis Nityaenae : une petite personne comme vous !»

Ezek analyse soigneusement Leeis.

Leeis : « Ne eis Mateis. »

Ezek :
« Tu parles bien le Tyll...pour une Matisse... »


Leeis répétant comme une mantra :
« Ne eis Mateis…
Même si la Mère,
deles Aiye,
m'a fait Laide.
Ne remercie La Mère »

Rapide comme la foudre, Ezek ouvre le front de Leeis avec ses dagues. Il dépose le sang prélevé dans une petite fiole.

Surprise La Matisse regarde Ezek le défiant de son regard furieux :

« Le nec ne nacharaias ilne! »

Elle prend sa dague Modi Limmel et…
Doucement, calmement, entaille profondément la paume de sa main gauche.

Elle étale ensuite son sang sur son visage en répétant :

« tu ne me chasseras plus Jamais ! »

Ezek excité par sa découverte :
« Je vais te laisser vivre, pour le moment.
Va et appelle la garde, je serai parti à  ton retour de toute façon. »


Leeis le visage dégoulinant de sang et reprenant ses armes :

« Vous ne m'effrayez pas. Ser Mystérieux…

ne nec sais qui vous êtes mais ne l'apprendrai. »

Elle se jette sur l'homin et le frappe de toutes ses forces, le blessant à plusieurs reprises.
Ezek un sourire Extatique au visage rit sous la douleur…

le Maraudeur sortant une Gemme :

« Banarc, on se reverra... »

puis il disparaît…

Leeis épuisée et ensanglanté s'écroule au sol…

Et sombre dans l’inconscience…

(à suivre)

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Neeis
En charge des fonctions de vicomtesse d'Avalae
Valyenae di Karan-valyenind e Aiyae di Lumnimae --o§O§o-- Gardienne du Royaume et Bénie de La Mère
Le nec ne nacharaias ilne! --o§OoO§o-- Tu ne me chassera plus jamais!
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