Il y avait du monde pour la cérémonie. La plage était bondée. Autant de concernés par les couriers envoyés que de curieux ignorants là pour profiter d’une occasion de faire la fête, car oui Grisen voulait que ce moment soit festif, si on en croit la quantité de bière qui venait d’être livré au brasseur improvisé sur la plage pour l’événement.
Pourtant, ni Ylang’Hao, ni lui n’avaient reçu le moindre courrier, ni la moindre annonce de la part d’Hao’Kan sur cette cérémonie. Heureusement que le Zoraï sous estimait la discrétion et la vitesse dont pouvait se répandre une nouvelle dans les lacs. Ou était-ce du fait que tout ceci le perturbait?
Quoi qu’il en soit, Jazzy était là, présent, une cinquantaine de mètres en retrait. Pourquoi? Il n’en savait rien lui même! Comme pour espérer avoir des réponses à ses questions. Jazzy avait souvent l’esprit préoccupé par les homins dont le comportement échappait à son entendement. Quelques uns en font parti, Zhen, Hao’Kan, MazéYum, Ki’Gan, Giasuki…
Alors que Grisen commençait son discours, Jazzy pouffa en pensant qu’il avait vraiment un soucis avec les Zoraïs. Personne ne prêtait attention au citoyen célèbre qui s’était posé à l’abri d’une pousse de Flyner dont la feuille était suffisamment basse pour dissimuler l’homin.
Qu’avait Feinigan en tête quand celui-ci défiait Jazzy au bras de Giasuki, reconnue dangereuse et recherchée par la Théocratie et la Fédération à l’époque?
Grisen expliquait en cet instant que Feinigan était bon bien qu’il aimait taquiner certaines personnes. Était-ce de la taquinerie? Ou Grisen est-elle encore naïve?
S’afficher dans le plus simple appareil sur la terrasse d’Avendale avec Giasuki pour provoquer la garde en s’exhibant sur des gestes obscènes. Quel imbécile de disait le commandant!
Suite à cela il s’était fait oublier auprès de la Fédération et des gardes, c’était une bonne chose. Son retour dans les lacs auprès de Zhen et Hao’Kan n’était pas de bonne augure mais Jazzy croient beaucoup à la seconde chance.
Bien que sa femme n’avait que l’idée de le tuer de ses main, persuadée qu’il était responsable de l’éloignement physique et spirituel de son fils, Jazzy avait tenté de prévenir, pour Hao’Kan, Feinigan et Zhen en les condamnant a s’exiler des lacs.
Encore une fois Jazzy pouffa car c’est finalement entouré du peuple tryker qu’il fera son dernier voyage, sous les yeux médusés des Trykeri la chope à la main.
Ses questions resteront à jamais sans reponse, et Jazzy le regrette déjà. Il avait compris, trop tard ce coup ci, qu’il fallait toujours rencontrer autour d’une bière ses ennemis pour comprendre leurs actes sans forcément les accepter…
Ce n’était plus nécessaire de rester plus longtemps, ce foutu tryker s’en était allé pour de bon et il ne voulait pas être vu ici. En reprenant son chemin, il vit Hao’Kan terminer une conversation semblant être sûr le ton de la gravité avec Grisen avant de partir avant tout le monde… c’était un moment difficile que Jazzy pouvait comprendre non sans difficultés.
Foutu Tryker ! Que t’était-il passait par la tête… ?
Ciao Tala…
Pourtant, ni Ylang’Hao, ni lui n’avaient reçu le moindre courrier, ni la moindre annonce de la part d’Hao’Kan sur cette cérémonie. Heureusement que le Zoraï sous estimait la discrétion et la vitesse dont pouvait se répandre une nouvelle dans les lacs. Ou était-ce du fait que tout ceci le perturbait?
Quoi qu’il en soit, Jazzy était là, présent, une cinquantaine de mètres en retrait. Pourquoi? Il n’en savait rien lui même! Comme pour espérer avoir des réponses à ses questions. Jazzy avait souvent l’esprit préoccupé par les homins dont le comportement échappait à son entendement. Quelques uns en font parti, Zhen, Hao’Kan, MazéYum, Ki’Gan, Giasuki…
Alors que Grisen commençait son discours, Jazzy pouffa en pensant qu’il avait vraiment un soucis avec les Zoraïs. Personne ne prêtait attention au citoyen célèbre qui s’était posé à l’abri d’une pousse de Flyner dont la feuille était suffisamment basse pour dissimuler l’homin.
Qu’avait Feinigan en tête quand celui-ci défiait Jazzy au bras de Giasuki, reconnue dangereuse et recherchée par la Théocratie et la Fédération à l’époque?
Grisen expliquait en cet instant que Feinigan était bon bien qu’il aimait taquiner certaines personnes. Était-ce de la taquinerie? Ou Grisen est-elle encore naïve?
S’afficher dans le plus simple appareil sur la terrasse d’Avendale avec Giasuki pour provoquer la garde en s’exhibant sur des gestes obscènes. Quel imbécile de disait le commandant!
Suite à cela il s’était fait oublier auprès de la Fédération et des gardes, c’était une bonne chose. Son retour dans les lacs auprès de Zhen et Hao’Kan n’était pas de bonne augure mais Jazzy croient beaucoup à la seconde chance.
Bien que sa femme n’avait que l’idée de le tuer de ses main, persuadée qu’il était responsable de l’éloignement physique et spirituel de son fils, Jazzy avait tenté de prévenir, pour Hao’Kan, Feinigan et Zhen en les condamnant a s’exiler des lacs.
Encore une fois Jazzy pouffa car c’est finalement entouré du peuple tryker qu’il fera son dernier voyage, sous les yeux médusés des Trykeri la chope à la main.
Ses questions resteront à jamais sans reponse, et Jazzy le regrette déjà. Il avait compris, trop tard ce coup ci, qu’il fallait toujours rencontrer autour d’une bière ses ennemis pour comprendre leurs actes sans forcément les accepter…
Ce n’était plus nécessaire de rester plus longtemps, ce foutu tryker s’en était allé pour de bon et il ne voulait pas être vu ici. En reprenant son chemin, il vit Hao’Kan terminer une conversation semblant être sûr le ton de la gravité avec Grisen avant de partir avant tout le monde… c’était un moment difficile que Jazzy pouvait comprendre non sans difficultés.
Foutu Tryker ! Que t’était-il passait par la tête… ?
Ciao Tala…
---
Jazzy Mac'PlanteyChef de Bai Nhori Drakani
Commandant de Bai Trykali
Citoyen célèbre