Poème dit par Salazar - Veillée des contes d'Atysoël de l'année 2586 de Jena (20/12/2015)
ODE À BODOKIN
Ses yeux d'ambre couronnés d'ambre ;
La robe fragment de nuit scintillante d'étoiles ;
Un grondement profond de caverne en racine géante
Doux et attentionné cependant,
Comme s'il chantait son amour à nos vertes splendeurs,
Une berceuse.
Nous sommes en sécurité, il chante,
Car Jena jour et nuit veille sur nous,
Et cependant qu'il chante
L'écorce tremble sous ses robustes pattes.
ODE À BODOKIN
Ses yeux d'ambre couronnés d'ambre ;
La robe fragment de nuit scintillante d'étoiles ;
Un grondement profond de caverne en racine géante
Doux et attentionné cependant,
Comme s'il chantait son amour à nos vertes splendeurs,
Une berceuse.
Nous sommes en sécurité, il chante,
Car Jena jour et nuit veille sur nous,
Et cependant qu'il chante
L'écorce tremble sous ses robustes pattes.