Je cours, je suis furieuse, je le voix.
JE LE DETESTE,
JE LE HAIS,
IL N’A PAS LE DROIT D’EXISTER,
IL DOIT MOURIR.
Il court vers moi, je charge et j’abats ma masse sur son visage, puis je lui brise les jambes, je lui broies les mains, je dégaine ma dague, lui entaille le bras et tire sur les extrémités de la blessures pour l’écorcher vif.
Mais sa pique m’éventre
Mais des crocs m’arrachent la chaire.
Que de souffrance jusqu’a ce que je voix des épines plantées dans mon bras…
AAAARG!!!
J’ai du mal à respirer, ou est ce que je suis? Mon matelas, les murs de la caserne, tout va bien.
Non, rien ne va.
JE LE DETESTE,
JE LE HAIS,
IL N’A PAS LE DROIT D’EXISTER,
IL DOIT MOURIR.
Il court vers moi, je charge et j’abats ma masse sur son visage, puis je lui brise les jambes, je lui broies les mains, je dégaine ma dague, lui entaille le bras et tire sur les extrémités de la blessures pour l’écorcher vif.
Mais sa pique m’éventre
Mais des crocs m’arrachent la chaire.
Que de souffrance jusqu’a ce que je voix des épines plantées dans mon bras…
AAAARG!!!
J’ai du mal à respirer, ou est ce que je suis? Mon matelas, les murs de la caserne, tout va bien.
Non, rien ne va.
---