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Poeme pour toutes les Mamans d'atys

Je vais emboiter le pas (comme on dit parfois) cela pour suivre l'histoire, tel la vie elle méme qui continue (et non pas se termine, dans les bras de la petite maman). Je ne veut pas voler la star à Mendell, mais plutot comme celui qui a fait un long chemin, je vous invite à en comprendre le principe. Ce chemin améne dans une lumiére toute grande, un Royaume éternel, où tous sont appellé petit prince (ou petite princesse).

Pour continuer l'histoire je remet moi aussi ma tenu de petit ange, un peu comme Superman (S).

Il est certe vrai (suivant l'histoire de Mendell) que nous descendons tous du ciel, et que nous somme tous confié à une petite maman.

Par la suite cependant les choses changent un peu: L'ange grandit, et il se rend compte que les oiseaux chantent aussi, de méme tous les humains (que cela se fasse en Choeur, ou en Solo, humblement dans les salles de bain, ou dans la gloire sur les grandes estrades).

De méme ils sont nombreux à parler de Dieu, et ils disent tous une choses à son sujet (certain méme disent qu'il n'existe pas, et surement eux aussi disent une part de vérité... car s'il existe, il se camoufle plutot bien, tellement bien que parfois, on le voit méme plus... peut étre est il trop grand justement, pour nous petits anges bébés devant lui).

Un jour que j'étais ainsi petit ange, sur une haute colline, j'entendit le chant d'un ruisseau, qui passait prés d'un arbre... il y avait un fruit délicieux dans cette arbre... et un oiseau y chantait là aussi. Le vent souffla dans les branches, et l'orchestre ainsi s'agrandit...les grands troupeaux de nuages avançaient dans le ciel, au rythme de cette méme musique, sous la houlette du berger Eternel, chef d'orchestre de toutes choses.


Etant petit ange, je réfléchit un moment, et considérant la Terre, je la vit ronde comme le ventre d'une maman. En y pensant encore, suivant le fil de la vie, je vit les vaches qui donne du lait, de méme je vit les carrottes, et le bol de riz. Puis levant les yeux vers le trone divin, je dit: Mon Dieu, tu m'a joué un bien étrange tour. M'aurais tu caché le sens véritable de toutes choses, la vérité la plus juste au sujet de mes parents véritables ?

Alors Dieu, de toute l'ampleur de son expression, réuni devant lui toutes les cohortes du ciel, et celles ci entonnérent un chant térrible et merveilleux à la fois. Ce chant évoquait une grande vérité: Il est une chose éffrayante que de ne pas savoir, et de demeurer ignorant. Mais il est une chose parfois pire encore, de savoir et ainsi de comprendre, la vérité toute entiére. C'est pourquoi on raconte des histoires, parfois un peu mensongére, au petits enfants, de méme aux petits anges. Ces histoires impliquent ensuite une renaissance, un relévement, pour entré dans une lumiére plus grande. La coquille du poussin, est un peu comme cela, elle est comme une histoire passagére, qui se brise par la suite, et laisse place à la lumiére toute grande.

Quand moi petit ange, j'eu entendu le chant des cohortes angéliques, la toute grande expression divine, je comprit ceci:

Il est une chance en vérité pour moi d'étre un ange, les yeux grands ouverts, et aujourd'hui je vois et je comprend la toute grandeur de mon Dieu. Ainsi il se fait vent dans le ciel, oiseaux sur les branches, ou chant du petit ruisseau, de méme il chante à travers les chansons de ma soeur, car toutes choses viennent et s'animent par lui.

La chose terrible (leçon donné dans ce berceau Terrestre) c'est qu'il est aussi la source de toutes les plaies et de tous les fléaux. Alors qu'est il mieux en vérité ? De ne pas savoir l'origine de la souffrance ? Ou de comprendre que méme celle ci viens de lui, et qu'il est toujours avec nous (en toutes choses) et que nous seront jamais seul ainsi ?!

Il est dit parfois qu'un vaccin piquant peut sauver une vie. Alors moi petit ange, je léve les yeux vers le ciel, et je voit poser sur ma téte une bien étrange couronne, contenant elle méme une grande quantité de vaccin. Alors je me met à sourrire de nouveau, voyant et comprenant le sens de ce trés long chemin. Je regarde autour de moi, et je voient tous les petits anges du ciel, qu'ils soient évéillé déja ou encore endormi, et de méme je voit toute la création, tenu en les mains de Dieu, son épouse avec lui (eux comme Pére et Mére originel de tous les petits anges, eux commes fondateur originel et vivant de toutes choses, l'esprit et la matiére, dont toutes choses possédent les génes: Méme les cailloux, qui sont présent concrétement, et qui par l'esprit, ont des caractéristiques propres).

Moi petit ange je reçois alors un cailloux sur la téte, je léve les yeux et fronçe les sourcils, et rugit un grand coup, vers le trone celeste, en disant: Hé attention ma téte !
Alors le vent émet un long gémissement, et un son tel une voix se fait entendre: OoooH mon enfant, désolé, mais tu était en train de perdre ton auréole, alors je me suis fait vent et cailloux, pour venir te la reméttre en place, et que par elle ainsi tu ne perde point la lumiére, méme si par sa toute grandeur, elle te parrait Abyssal (ou Habit sale).

PS: Il pourrait étre déplacé pour un ange, de poser un pied sur la terre, et de déployer en celle ci, ses toutes grandes ailes. D'autres anges (gardiens du berceau) pourrait intervenir et dire: OoooH les ailes c'est seulement dans le ciel. Alors l'ange montre patte blanche, par le sceau de l'arbre de vie, et évoque la nécéssité absolut, lié au chemin de la cruel leçon vaccinante, qui plonge certains petits anges martyrs, dans le sommeil de la mort (loin de leurs amis et de leur jeu favoris), et de méme en estropie d'autre durement. Pour cette raison méme, l'ange étend ces ailes, comme une consolation, pour montré l'horizon du chemin éternel, qui va bien audela du petit ventre arrondi, qui nous sert de maison un instant.

PS2: L'ange ayant accompli sa mission, se retourne une derniére fois, et le vent soufle déja comme une derniére acclamation (pour cette fois): Hourraaaa, Hourraaaa.... : ) Alors il remet ses gants blancs, de serviteur celeste, fait un signe à Mendell (de méme à tous les petits anges, quelque soit leur fonction terrestre), et reprend ainsi sa place sur les ailes du vent... le vent, comme une main de Dieu... l'une de ses nombreuses mains, qui font comme de nombreuses racines, qui relient et vivifient toutes choses, en cette "étrange" création, qu'il tien et orchestre en ses mains (Mére originel avec lui).
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