- Oren pyr Pecus! Je viens commander deux tonneaux de lait de capryni!
- Tout de suite akenakos!
- Alors quoi de nouveau dans le coin?
Pecus ouvre la bouche pour dire une chose et puis, il décide d’en dire une autre.
- Cela fait un bon bout de temps que l'on vous n'aperçoit pas. Comment allez-vous?
- Très bien, akep. J’ai passé quelques jours à sillonner les Eaux Tourmentées pour vérifier que tout se passe bien.
- Apparemment, on dirait que vous êtes assez occupée. Donc ces deux tonneaux sont pour le petit Uzykos?
- En fait, un pour lui et l’autre pour ma gentille Lyren.
- La nouvelle arrivante, euh .. Je vois oui. Tout le monde en parle à Thesos.
- Elle est tellement charmante et sage n’est-ce pas? Que ferai-je sans son aide! En plus, je suis tellement fière qu’elle soit rentrée dans les rangs des patriotes!
Le barman laissant partir sa discrétion habituelle:
- akenakos, je me vois dans l’obligation de vous informer que les patriotes et notamment ceux de Thesos commencent à s’inquiéter au plus haut point. Des bruits courent que vous n’êtes pas assez diligente dans vos fonctions, et que vous dédiez la plupart de votre temps à des activités qui ne vous correspondent pas.
Wixarika scrute les yeux de Pecus pour vérifier s’il plaisante, mais elle n’a pas l’impression que c’est le cas. Elle essaye de réfléchir à ces paroles une seconde, mais son esprit, de nature impulsif et sans filtres ne lui empêche pas de rétorquer:
- Je n’en reviens pas de ces bavardages! Et je préfère me taire, car je suis quelqu'un de brave, mais j'observe ! Et j'en sais des choses, donc certains et certaines devraient laisser leur hypocrisie de côté et être plus bienveillants, car sinon je vais parler, ras la fiole !! Qui se sent morveux se mouche !
- Du calme, du calme! C’est juste … enfin… comment pourrai-je vous dire. Sérieusement, ne croyez-vous pas que votre domicile est devenu une sorte d’hospice de la charité? D'abord, vous ramassez cet enfant illégitime qui vous prend énormément de temps et puis cette Lyren qui rentre et sort de chez vous en toute liberté. Allez savoir quelle est la vraie nature de cette fyros!
- Vous sous-entendez que je suis une sorte d’ingénue? Dey?
- Le destin d’un akenakos est voué à d’autres responsabilités. Il n’y à point d’espace pour les attachements de cet ordre. Les patriotes ne sont pas prêts à contempler assis ce genre de sensibleries.
Pecus pour être davantage au diapason de l’état d’âme de Wixarika ou plutôt pour arranger la controverse, lui sert un verre de shooki.
Wixarika renifle d’un air très fâché.
- Et bien tu sais, je ne vais pas laisser choir ces deux-là! Ce sont mes rayons de soleil!
Pecus acquiesce sans oser plus dire un mot.
- Et écoute-moi bien! Premier point, et seul point, je partage mon bonheur, mais je ne vais pas trop donner de détails, car après ça parle sur le dos des autres. Si l'on se sent visé par quelque chose, c'est vraisemblablement parce que l'on est concerné. À bonne entendeuse!
Pecus se fend d’un sourire poli sans aller jusqu’à rire pendant que Wixarika hausse de plus en plus sa voix.
- Je vais essayer de rester concise, vu que je veux éviter quelques accroches avec quelques homins malhonnêtes à cause de leur manque de capacité à tenir leur langue soigneusement rangé dans leur petite bouche, mais le Désert et l’Empire restent et resteront toujours ma priorité!
Le vieux barman essaye tant qu' il peut de changer de sujet.
- Je vous fais livrer vos deux tonneaux sans faute cette après-midi akenakos!
- Très bien Pecus! oren fyraï!
Wixarika quitte le bar d’un pas déterminé avec la foi ardente que si la destinée lui avait apporté Uzykos et Lyren c’était tout simplement pour retrouver la sérénité qu’elle avait perdue. Tous ses ragots infâmes devaient s’effacer de sa tête.
En rentrant dans son appartement, elle ne peut pas éviter de sortir de la pochette de sa robe un autre des objets dénichés dans l’appartement d’Eeri tout en marmonnant:
- L’hommage des amis, c’est la fidélité.
----------------------
- Hey Pecus!
Pecus entrevoit une petite tête tryker qui émerge du haut de l’escalier du bar.
- Arrête un peu de l’accabler! Elle a eu tellement de pertes en si peu de temps!
- Tout de suite akenakos!
- Alors quoi de nouveau dans le coin?
Pecus ouvre la bouche pour dire une chose et puis, il décide d’en dire une autre.
- Cela fait un bon bout de temps que l'on vous n'aperçoit pas. Comment allez-vous?
- Très bien, akep. J’ai passé quelques jours à sillonner les Eaux Tourmentées pour vérifier que tout se passe bien.
- Apparemment, on dirait que vous êtes assez occupée. Donc ces deux tonneaux sont pour le petit Uzykos?
- En fait, un pour lui et l’autre pour ma gentille Lyren.
- La nouvelle arrivante, euh .. Je vois oui. Tout le monde en parle à Thesos.
- Elle est tellement charmante et sage n’est-ce pas? Que ferai-je sans son aide! En plus, je suis tellement fière qu’elle soit rentrée dans les rangs des patriotes!
Le barman laissant partir sa discrétion habituelle:
- akenakos, je me vois dans l’obligation de vous informer que les patriotes et notamment ceux de Thesos commencent à s’inquiéter au plus haut point. Des bruits courent que vous n’êtes pas assez diligente dans vos fonctions, et que vous dédiez la plupart de votre temps à des activités qui ne vous correspondent pas.
Wixarika scrute les yeux de Pecus pour vérifier s’il plaisante, mais elle n’a pas l’impression que c’est le cas. Elle essaye de réfléchir à ces paroles une seconde, mais son esprit, de nature impulsif et sans filtres ne lui empêche pas de rétorquer:
- Je n’en reviens pas de ces bavardages! Et je préfère me taire, car je suis quelqu'un de brave, mais j'observe ! Et j'en sais des choses, donc certains et certaines devraient laisser leur hypocrisie de côté et être plus bienveillants, car sinon je vais parler, ras la fiole !! Qui se sent morveux se mouche !
- Du calme, du calme! C’est juste … enfin… comment pourrai-je vous dire. Sérieusement, ne croyez-vous pas que votre domicile est devenu une sorte d’hospice de la charité? D'abord, vous ramassez cet enfant illégitime qui vous prend énormément de temps et puis cette Lyren qui rentre et sort de chez vous en toute liberté. Allez savoir quelle est la vraie nature de cette fyros!
- Vous sous-entendez que je suis une sorte d’ingénue? Dey?
- Le destin d’un akenakos est voué à d’autres responsabilités. Il n’y à point d’espace pour les attachements de cet ordre. Les patriotes ne sont pas prêts à contempler assis ce genre de sensibleries.
Pecus pour être davantage au diapason de l’état d’âme de Wixarika ou plutôt pour arranger la controverse, lui sert un verre de shooki.
Wixarika renifle d’un air très fâché.
- Et bien tu sais, je ne vais pas laisser choir ces deux-là! Ce sont mes rayons de soleil!
Pecus acquiesce sans oser plus dire un mot.
- Et écoute-moi bien! Premier point, et seul point, je partage mon bonheur, mais je ne vais pas trop donner de détails, car après ça parle sur le dos des autres. Si l'on se sent visé par quelque chose, c'est vraisemblablement parce que l'on est concerné. À bonne entendeuse!
Pecus se fend d’un sourire poli sans aller jusqu’à rire pendant que Wixarika hausse de plus en plus sa voix.
- Je vais essayer de rester concise, vu que je veux éviter quelques accroches avec quelques homins malhonnêtes à cause de leur manque de capacité à tenir leur langue soigneusement rangé dans leur petite bouche, mais le Désert et l’Empire restent et resteront toujours ma priorité!
Le vieux barman essaye tant qu' il peut de changer de sujet.
- Je vous fais livrer vos deux tonneaux sans faute cette après-midi akenakos!
- Très bien Pecus! oren fyraï!
Wixarika quitte le bar d’un pas déterminé avec la foi ardente que si la destinée lui avait apporté Uzykos et Lyren c’était tout simplement pour retrouver la sérénité qu’elle avait perdue. Tous ses ragots infâmes devaient s’effacer de sa tête.
En rentrant dans son appartement, elle ne peut pas éviter de sortir de la pochette de sa robe un autre des objets dénichés dans l’appartement d’Eeri tout en marmonnant:
- L’hommage des amis, c’est la fidélité.
----------------------
- Hey Pecus!
Pecus entrevoit une petite tête tryker qui émerge du haut de l’escalier du bar.
- Arrête un peu de l’accabler! Elle a eu tellement de pertes en si peu de temps!