ROLEPLAY

Un homin se tenait sur la place de Pyr. Il racontait une histoire. Quelques badauds écoutaient distraitement, plus intrigué par l' étrangeté de sa physionomie que par l'histoire qu'il narrait.



Déjà sur Silan Siel n'était pas particulièrement douée, plutôt lente à la tache, timide, elle ne brillait dans aucun domaine particulier.
Quant elle arriva sur le continent elle fut rapidement prise en main par une guilde Fyros. Elle progressait lentement, plus intéressée par la situation politique de l'empire que par le maniement des armes.
En ce temps la les Kamistes régnaient d'une poigne de fer sur l'empire ardent, ne tolérant aucun Karavanier. Le FrontFyros s’était donné pour tache de faire naître une nation Fyros puissante libérée du joug des religions. Cela échoua, minée à la fois de l'extérieur et de l’intérieur la guilde éclata.


Après une courte période d'errance Siel décida de continuer son combat en créant sa propre guilde, aidée par des Fyros de confiance. Le mot d'ordre n'avait pas changé « La Liberté ». Pour marquer les esprits plutôt que par choix religieux ils fondèrent une guilde Karavan : Les Patriotes Jénaistes.
Sans entrer dans les détails historiques le fait est qu'ils furent bannis du désert et qu'ils s'exilèrent chez les Matis, devenant Les Exilés du Désert
Une année de Jena plus tard et beaucoup d’événements omis, un procé eu lieu, leur permettant de réintégrer ou non le Désert. Siel du assurer la défense de sa guilde. Elle le fit mal et leur réintégration à l'empire fut rejetée.


Certains partirent de leurs cotés, et ceux qui restaient étaient éperdus et indécis. Il ne pouvaient pas rester plus longtemps dans la forêt. Ils étaient quatre quand ils arrivèrent dans le désert par le vortex de thesos. Ils n'allèrent pas beaucoup plus loin, vivant dans les dunes, sans s'approcher des villes impériales, en sauvages. C'est d'ailleurs ainsi qu'ils se nommèrent. Mais rapidement Siel se retrouva seule.
Elle s'aventurait maintenant dans les rues de Pyr, la mine défaite, essayant de retrouver un peu d'espoir ou de compagnie, arborant son blason Karavanier sans que les gardes ni les extrémistes ne réagissent, par indifférence ou par pitié. Elle était devenue Siel la Sauvage.


Elle restait parfois au même endroit durant des jours, devant l’étable sud de Pyr. Elle faisait aussi de longues marches dans le Désert, ne transportant plus rien dans son sac, même pas un pact de téléportation. Parfois sa pioche à la main elle creusait avec acharnement. Parfois elle tentait de se ressaisir, par exemple en s'occupant l'esprit à perfectionner une branche d'artisanat mais elle ne se rappelait pas ou forer, elle restait bête devant un morceau de fibre ou un bout d’écorce, se demandant à quoi pouvaient ils servir.


Un jour elle s'aventura trop loin dans le Désert Le soleil se couchait dans les dunes et au loin des cris de varinx retentissaient, se rapprochant.
Siel marchait sans hâte, épuisée, elle aspirait au calme. Au milieu d'une dune elle s'éfondra. Elle gisait sur le sable encore chaud tandis que les cris devenaient plus distincts. Elle se souvint alors qu'on lui avait plusieurs fois demandé se que signifiait pour elle « être Fyros ». Elle avait donné des réponses différentes, jamais satisfaisantes. Maintenant la réponse était claire. Être Fyros c'est être du sable.

(/HRP Je sais qu'il n'existe pas de sable sur Atys mais je me suis dis que les Fyros pouvaient appeler ainsi la sciure du Desert, la chute ne fonctionnant pas avec la sciure :p /HRP)

Oura leva la tête le temps était à l'orage; un fagot de bois à la main un yubo allaitant dans l'autre.
Sa mémoire remplie de bon souvenir et l'esprit libre .
Là étendu dans le sable ce corps sans vie interrompue cette douceur .
Elle avait installé sa hutte si isolé, quelle était surprise de voir une vie
Son visage ne lui était pas inconnue, mais elle se trouvait si loin de tout !
Pourquoi s'être éloigné , quelles étaient exactement ces intentions ?
Son regard froid chercher à faire appel au peu hominité qui lui restait .
Elle se souvient tout à coup de son rêve.
Attrapant le gilet elle la traina à l'intérieur de sa hutte.
La force de vie était en elle.
Oura confectionna une potion quelle portant à ses lèvres.
*Haussa les épaules *
-On verras bien demain !....
La vallée protégeait la hutte des vents froids la pluie commence à ramener le bruit des tonnerres sans jamais nous apportait l'eau, sacré désert....
Le feu crépitais la bonne odeur du yubo commencé à chatouiller ses narines.

Le temps passait et Siel restait morose, sans reconnaissance pour l'homine qui l'avait sauvé.

Elle dormait beaucoup, d'un sommeil agité, elle voyait des kamis repus dansant en cercles fous, des compagnons d'armes disparut, le desert n'avait pas voulu la reprendre.

Finalement elle s'acquittait de taches simples que lui donnait son hote, nettoyer la hute, faire a manger.
Elle trouvait dans ses gestes simples quelque réconfort et appreciait le silence, rarement troublé.

Peu à peu elle retrouvait la force de vivre, un jour elle fis ses adieux à Ouragant, l'homine qui l'avait secouru, et parti en direction de Pyr.

Elle n'avait aucun projet en tête, elle avait perdu à la fois son désespoir et son obstination.

hum...lordoy.
je suis zoroark un abitent des lacs.
j'aime bien vo petits textes.
aussi je post ce message pour vous dire que des homins lisent vos histoires avec appréciation.
bon courage :)