ROLEPLAY

Moi Ortaven, Homin d'Atys, enfant de la vie, je me trouvais dans la région du Vide, dans le pays malade.

Je me trouvais en ce lieu pour améliorer mes compétences, et si possible soigner en partie la maladie de ce méme pays.


J'étais positionné au niveau des grand Najabs, et comme j'étais seul, et pas vraiment préssé au dela de la justesse, je combatai, puis je me reposait entre chaque combat.

C'est alors que j'aperçois un Homin. Il était poursuivit par un Kincher Tueur. Cet homin se dirige vers moi avec son fardeau, et voila que le fardeau affamé trouve en ma personne un bonne occasion de se nourrir sans effort, et donc m'attaque.

J'estime étre un vaillant homin (en tout cas j'essai de l'étre, la plus part du temps) et je me lance donc dans le combat, pour proteger ma vie, et pour aider cet homin en détresse. Le combat prend quelque minute, et à la fin de celui ci je me trouve fort diminué. Là j'attend, et je constate que l'homin en détresse est déja partie, sans exprimé la moindre considération, et sans méme me soigné, bien que je l'ai débarasser de son fardeau.

Alors j'étais un peu étonné, mais comme c'étais la premiére fois que cela se produisait, mon coeur s'est consolé, dans la lumiére de la bienveillante et miséricordieuse noblesse.

A la fin de la journée, je me trouvais encore dans la méme zone, et voila que cet homin vient encore sur la zone, avec l'une de ses jeunes soeurs, et là cette fois c'est elle qui viens sur moi, avec un Kirosta affamé, et encore une fois celui ci se jette sur moi.

Alors cette fois (comme c'étais la seconde fois, au sein de la méme petite communauté) je me suis retourné, avant méme d'affronter le Kirosta, et je voyais l'homin et l'homine poursuivre leur chemin, comme si de rien n'était, encore une fois. J'aurai compris qu'on me demande de l'aide, et qu'ainsi on me charge de tanker la béte, mais il aurait été juste qu'on m'aide à son tour, en me soignant, ou en marquant un temps d'arret, et un signe de reconnaissance... mais là rien du tout, et cela avait le gout et l'odeur d'un profond mépris.

Je me suis alors gonfler de la fureur du Kirosta et du Kincher, et j'ai poursuivi en quatriéme vitesse les enfant d'Atys, ignorant, négligeant ou malicieu. A noté ici que le feu se transmet, et si une charette enflammé entre dans un village, alors c'est tout le village qui s'embrase, et méme toute la région, s'il y a beaucoup d'arbre.

L'homin alors se rend compte que je les poursuit, et m'adresse la parole et s'excuse. Immédiatement le feu en moi s'est éteint, par la justesse retrouvé, par la vie considéré. Je répond donc à l'homin que si l'événement a été compris, il était déja oublié, et j'ai mis fin à la poursuite (oublier ma fureur). Mais on ne saurait oublier l'injustesse, la médiocrité... Donc pour cette raison, et pour faire grandir la lumiére (éclairé les chandelles) je témoigne ici de l'événement, de sorte que l'ignorance, la négligeance légére, ou la malveillance soit corrigé, pour le bien de tous.

La vie peu justifier ses actes de bien des façons, et parfois cela est trés subtil. Elle peut amener les homins dans les profondeurs sombres, pour qu'ils y retrouvent ensuite le chemin de la lumiére... Donc moi qui était "seul", l'événement m'a amener dans le girond d'une petite maison, et cela est lumiére pour moi, et pour celle ci. Donc je metrai l'événement sur le compte de la vie, qui se plait à tissé des liens, qui nous font grandir, nous améliore, dans la concorde bien gouverner, par de bon capitaine, ou de bons ainés (qui éclaire ainsi tous les moussaillons, illuminant les océans de noble vaisseau... et non pas de véhicule chargé de peste galopante). La peste aussi est lumiére, sucité par la vie elle méme... mais puisse les enfants véhiculé une lumiére meilleur que la peste.