ROLEPLAY

...Leeis est à la recherche de matériel digne de ses projets. elle à retourner les magasins. Mais il n'y a jamais rien qui soit digne de ses aspirations.

L'épée de duel offerte en récompense par la Serae Maître d'arme est superbe, mais ce que leeis recherche, ce sont des armes pour le combat, pas pour le jeux…. Certes, cette lame est rapide, légère et ne manque pas d'une certaine élégance que n'aurai peut être pas renier son modèle…

mais elle manque de force : elle n'est conçu que pour blesser.

le dard dont elle était si fière n'est plus qu'un jouet entre ses mains.

Bien sure, « Feu e Colère » l’accompagne, mais pour puissante qu'elle soit, cette lame manque de finesse et de délicatesse. Ce n'est qu'un objet sans âme conçu par un peuple frustre et sans subtilité. Certes, cette double lame flamboyante lui à déjà permis d’ôter la vie à un kirosta gigantesque, Certes, sur Silan, cette arme est la plus puissante que puisse posséder une homine-wivan comme elle.

Mais elle ne convient pas à son style…

après avoir poser des annonces restés lettre morte elle se décide à demander conseil.

Elle écrit et envoie un izam à Serae Zendae-kin !!!

Son audace, la surprend elle même, mais la réponse qui arrive la laisse terrifiée. Elle reste longtemps, ne sachant que faire, avant de dérouler le délicat message.
Cet izam fut le premier d'une nombreuse correspondance. Leeis buvait littéralement, les conseils que l'Amazone Mystique avait la bonté de lui donner. Elle se savait indigne, mais ne savait que le répéter. Zendae interprétait cela comme l'expression d'un complexe d'infériorité, encourageant en retour Leeis à arpenter la voie sacré…. Leeis ne savait plus comment annoncer à sa bienfaitrice la tare dont elle était affligé. Le temps passe, notre homine progresse et continue à développer ses compétences. Elle sait qu'elle part avec un gros handicape, mais peut être si Jena notre mère le veux…

...peut être a t elle une minuscule chance d'être acceptée par ces homines fières et belles.

Elle est indigne de ses aspirations, elle se punis régulièrement pour son outrecuidance. Mais, peut être les grande guerrières ne remarqueront pas ses mal-formations.

Chaque nouvel izam encourage Leeis à espérer…

un jour elle décide qu'elle est peut être prête. Elle décide qu'elle partira le lendemain… Elle passe la journée à jouer et plaisanter avec ses amis de Silan.
Elles se moque de Ser'Palmi qui lui ressemble tant mais qui attire tous les kipestas de la jungle de Silan…
Lorence la petite trykette qui forait au milieu des javings en s’étonnant de perdre sa pioche, lui manquera…
Même, Serathny, qui connait la supériorité naturel des Matis mais ignore le Mateis lui manquera...
Rives, Sutra, Droxen...

...tous lui manqueront...

Elle parle, aussi, beaucoup avec Ser-Letici-Kin de ses projets mais ne sait pas comment lui apprendre qu 'elle vas les quitter pour suivre son destin.
Un regret serre son cœur mais sa décision est prise, elle s'étiole sur Silan elle doit partir.

Elle arpente seule Silan ce lieu qu'elle ne reverra pas. Les ruines avec ses bandits, le village des chlorogoos, les jeunes yubos les puissants Bodocs, les affreux gingos… tout ce qui fut sa vie depuis le moment où elle a décidé de devenir quelqu'un.

Elle ignore si elle y est déjà parvenue.
Mais, elle sait qu'elle n'est plus: personne,
ses actions, le regard de ses amis…
Mais cela suffit-il pour devenir quelqu'un.

Cela n'a pas beaucoup d'incidence en fait.Tant que sa sève vivra et que Jena lui restera bienveillante, elle continuera à jouir de la vie et de ses progrès avec la persévérance qui convient à une homine.

Echvarak le grand fyros qui l'a accueilli à son arrivée lui répètait :

tu es ce que tu fait,
tu fais ce que tu décides !

Elle n'avait pas compris à l'époque ce qu'il voulait dire…
il ne parlait pas de réussite, mais de volonté, cette volonté moteur de tous les Homins vivants.
Elle sait qu'on n'est pas vivant seulement parce que sa sève circule.
On est vivant parce qu'on décide de l'être et qu'on agit en conséquence…

...bref Leeis occupa sa fin de journée à se promener en rêvant dans ce lieu qui lui fut si bon.

Elle repoussait tant et si bien le moment de se rendre à l'assemblée sur l’île quelle finit par se trouver en retard.

A son arrivée elle salut tout le monde et demande humblement de pardonner son retard, elle reste debout et écoute les conversations et les débats de ses jeunes homins. Elle qui est à peine moins jeune, se sent âgées en les écoutant, il se cherchent et ont dans la tête des projets de gloire et de combats.
Si elle vois dans son avenir des combats et de la sève, elle sait que la gloire ne sera pas pour elle…
Le temps passe et le moment des adieux arrive.

Leeis toujours debout lève la main pour demander la parole, attendant sans hâte que Ser-Letici-Kin lui donne la parole…
Quand elle finit par l'obtenir, elle baisse la main, s'avance dans son armure don des rangers, et prend la parole :

au début sa voix est tremblante presque chuchoté, puis elle s'affermit:

« Mes amis…
...Mes Amis je vais vous quitter, mais vous devez savoir que je vous regretterai…
...J'ai passé avec vous les meilleurs moments de ma courte vie…
...et vous m'avez bien plus donné que je ne pouvais espérer. Mais la vie est mouvement, la vie est changement, si je reste ici c'est comme si je renonçai à vivre…
Le destin m'appel sur le continent !
c'est décidé je vais vous laissez afin de poursuivre ma route.
J'ai un peu la sensation de vous abandonner mais je ne veux pas que vous restiez sur cette impression, alors je vais vous offrir des Cadeaux. Ce n'est pas grand-chose, des objets utiles… ...là ou je vais, des merveilles m'attendent, je ne garderai que le strict minimum pour voyager »

Alors Leeis se tournant tour à tour vers chacun de ses compagnons, leur offre l'un de ses biens en lui glissant une petite phrase amicale dans l'oreil.

Elle finis par Letici lui réservant Feu et colère la grande épée Fyros ainsi que quelques objets, et armures… (elle lui chuchotte : « pour toi et les jeunes... »).